Aux funérailles de mon mari, ma belle-fille s’est moquée de ma robe. Elle n’avait aucune idée de qui j’étais.
La chapelle était silencieuse, hormis le bourdonnement discret de l’orgue et le léger crissement des chaussures sur le marbre. Des bougies brûlaient le long de l’autel ; le parfum des lys embaumait l’air jusqu’à en être presque enivrant. Mon époux, Victor, avait été inhumé, et j’étais assise au premier rang, les mains jointes sur les genoux. … Lire plus